• Un petit bonheur imprévu.
    Des routes en parallèle.
    Envie...

    Et peur.


    votre commentaire
  • Mais pourquoi donc ?
    Que cherches-tu cette fois ?
    Quelle lumière t'a-t-elle attiré, joli papillon ?

    Les yeux embrumés, j'ai eu autant de mal à y croire que précédement.
    Choc et raison. Ne rien attendre...
    Ne pas bouger surtout ! Le temps fera la différence.


    votre commentaire
  • Bien sûr, ce n'est pas flagrant
    Bien sûr, je retombe encore très vite
    Et pourtant, je la sens au fond de moi
    Une envie qui se fait besoin
    Besoin de sortir doucement, prudemment, de ma torpeur
    Envie d'être gâtée, choyée
    Ces gestes reçus en émerveillement
    Et en même temps si fragile, si vite lassée
    Si facilement étouffée
    Comme en convalescence encore
    Période dangereuse, le temps des vautours...

    Sensibilité extrème, au bien-être comme à la douleur, et sans doute par-dessus tout à la sincérité... ou plutôt aux mensonges.


    Bientôt un an que tu es entré dans ma vie. Bientôt un an que tu m'as fait reconnaître ce dont j'ai besoin. Traces de toi encore...
    Une idée folle : et si...
    Un rien, une impression, un rêve... Un but.


    votre commentaire
  • Des dizaines, sans doute même des centaines d'hommes ont traversé ma vie. Pour une heure ou pour quelques années... Et seuls trois m'ont laissé un souvenir sans tache. Seulement trois. 
    Bien sûr, je pourrais en ajouter quelques-uns qui ont eu au moins la franchise de leurs limites. Des rapports comme des contrats, ce n'était pas des relations. Nets et froids, pas vivants.

    Est-ce si compliqué la douceur, le respect et la sincérité ?


    votre commentaire
  • Fatiguée, très. Fatiguée de marcher seule. Fatiguée des vampires, des manipulateurs à trois sous, des égoïstes, des menteurs. Et aussi des gamins, des irresponsables et des lâches.

    Je me barricade. Je mords si on m'approche. Je m'enferme en rêvant de sécurité, de tendresse en liberté. Je sais que j'en ai, beaucoup, trop. Elle ne demande qu'à rayonner. Mais certainement pas à n'importe quel prix pour n'importe qui. Parfois une bouffée m'échappe, aussitôt volée, trahie, salie.

    Allez... J'ajoute les cons au panier, ça fera le compte. Et la vie continue. Peut-être un jour quelqu'un d'assez fort pour ne pas craindre. Quelqu'un d'assez fier pour ne pas mendier. Quelqu'un d'assez doux pour apprivoiser.


    2 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires