• Solitude. Choisie oui, mais pas voulue.

    'spice de gros nounours parfois t'arrives même à me manquer. Pas assez de sales moments pour effacer les bons. Mais pas envie de les multiplier non plus : assez mal comme ça.
    Pas oubli non plus... juste lâcher prise. Et imposer la distance.
    Bizarre non? Je pourrais presque dire : "Je m'en vais parce que je t'aime."
    Caractère va! Prends soin de toi.

    "Brouillon" ou "publier" ? Je n'en sais encore rien. Pourquoi pas ou pourquoi faire ? Envie de te dire et refus de te fourbir les armes. Clic au hasard...



    .


    un PS aussi : chapeau ! Monsieur.   


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  • J'avais encore voulu entendre ton mal-être, y puiser des excuses. Mais à quoi bon? Je n'ai plus la patience, le temps à perdre à ce genre d'histoire. J'en connais trop bien la fin.

    Alors, avant la guerre et les haines, j'arrête là.

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    02-07-05

    Décidement non.

    Tu ne m'aimes pas. Tu es amoureux peut-être. Tu aimerais te servir de moi, à défaut de me voir ramper. Glorioles, chantage affectif, jalousie et égoïsme. Rien de bon pour moi.

    Dommage. J'aimais la tendresse et l'attention des premiers instants.


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  • ...

    Je devrais écrire peut-être. Je n'y arrive pas. Trop de désillusions et d'inconfort encore. Trop de doutes et de questions sans réponses aussi.

    Il faudrait du temps pour reconstruire et j'attends le prochain orage.


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  • Nuit calme. Et une petite lumière qui a brillé. Porte entr'ouverte. Ou seulement retour à la normale. Peu importe. Ta présence malgré tout. Infime. Bien plus indispensable que je ne peux le dire.

    Un peu moins froid.
    Un peu de paix.


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  • Sentiments en vrac
    Il y a eu l'angoisse, la peur, la colère, le dépit, le mépris, la fierté, la résolution et le mépris et la colère encore devant les nouveaux mensonges et les semblants d'excuse. Et puis le sourire, le détachementent, la distance,...
    L'incrédulité, l'espoir et le renoncement mêlés.

    Attente vaine sans doute, envie de croire encore. De le croire.
    Et le vide. Le manque de sa peau. Le besoin de sa voix.
    Et les pleurs enfin. Silencieux et inutiles.

    Je sais pourtant que demain, je tiendrai. J'oublierai un moment. Et je rentrerai pour rien.

    Du temps...
    J'ai froid.



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