• Quelqu'un qui te ressemblait.

    Parce que son regard s'est détourné,
    Parce qu'il a tremblé,
    Parce qu'il s'est emmelé les allures,
    Parce que, surtout, il a su m'imposer le respect de moi-même.

    Parce qu'il était entier, vivant, présent.
    Et je ne saurai sans doute jamais les blessures qu'il cachait sous son armure.


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  • Encore un message... De ceux qui attirent mon regard. Flatteur, de ceux qui disent l'attrait, l'intérêt. De ceux qui en voulant dire le plus, reviennent aux formules les plus banales, les plus vides de sens. Ou alors est-ce moi qui déchante ? Est-ce moi qui les lis trop ?
    Sens de la différence. Voulue, affichée, reconnue, assumée... Et puis une part qui en veut plus encore. Une part de vérité sans doute. Avec les fêlures, les faiblesses et les fatigues.



     



    Une carte de visite décalée, libre.


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  • Mal

    Décidement non, je n'y arrive pas. Je hurle sur mon clavier.



    Pas très beau de t'avoir joué ce tour. Pas fière.
    La douleur à te lire crier ta solitude. Un certain plaisir aussi, celui de savoir ta présence, celui de découvrir la différence. Oui vraiment, quand je t'ai lu, j'ai compris : j'ai eu droit au tapis rouge. Et je n'ai pas su le voir.


    Toujours pas plus bavard... Normal aussi puisque je n'étais plus sensée y être. Comme une envie de taper mon pied dans la porte. Bientôt. Oui, je viendrai... Ou tu me jeteras. Clairement.


    Me rendre et t'emmener. Je t'aime.


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  • :-))) ça fait bizarre et pourtant, c'est la situation la plus logique, voire réelle.
    D/C/G  Un an déjà...
    Tendresse Mes Yeux

    En fait, situation bien connue...
    Sourire de retour après tours et détours, et Sérieux, fidèle et patient comme à son habitude.
    La fête a repris, en câlins, Epaule l'a déjà compris.
    Une place pour Découverte, félin viking qui comprend sans mot ? Qui sait...



    Pleurs encore, derrière le rire qui a fermé la porte cette nuit...
    Mais il n'est pas plus utile que tu le saches, que tout le reste.
    VLAMM !!!


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  • A part un miracle...
    Me résoudre à vivre sans toi. Et pas seulement en mots.
    Rouvrir les yeux sur le monde, lâcher prise.
    Une dernière prière à l'ether... Fichu sentiment de proximité, de corde.
    A nouveau ce contact au moment de couper, hasard... Peut-être.
    Me planter les pieds dans la boue, sentir la réalité vivante, voilà de quoi j'ai besoin.
    Avoir froid, chaud, faim... Rire, toucher et être touchée. Sans doute qu'un autre saura autant que toi... Mais qui? Qui d'autre me permettra de m'ouvrir? Moi bien sûr... Mais avec qui d'autre me sentir assez en sécurité? Ou qu'est-ce qui a fait que je me suis sentie suffisament en sécurité? Le sentiment que tu n'avais pas besoin de moi, sans doute. Que tu n'étais pas là pour m'utiliser. Et puis, je m'en retrouve perdue, avec le sentiment d'avoir envie, besoin d'être désirée... Non, ce n'est pas ça !
    Envie de savoir que tu as trouvé l'équivalent à tes yeux, que tu as envie de le vivre encore. Savoir que nous pouvons être. Sans carapace, sans peur. Oui, c'est ça : je n'ai pas eu peur dans tes bras et j'ai envie de retrouver cet état.
    Complet paradoxe... Difficile équilibre.
    Vivre sans attente... Bien sûr que la clé est là, mais comment la saisir? En ouvrant la main...

    Pour l'immédiat, prendre soin de moi comme si tu venais ce soir.
    Tu viendras, c'est sûr ! Tu es déjà là.



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